Lundi 9 février 2009 1 09 /02 /Fév /2009 18:23
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FORMES GALENIQUES
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DEFINITIONS - Caractéristiques
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EXTRAITS
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Ils s’obtiennent par extraction (dissolution extractive) des principes actifs d’une plante préalablement desséchée, grâce à un solvant approprié vaporisable (alcool, eau... ou un mélange de ces solvants...), suivie de leur évaporation jusqu’à la consistance voulue : fluide, molle ou sèche.
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NEBULISATS
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Ce sont des extraits secs particulièrement ténus (fins),obtenus par nébulisation, c’est-à-dire pardessiccation très rapide de l’extrait fluide issu de la plante fraîche, que l’on injecte sous forme d’un brouillard de microgouttelettes instantanément séchées par un courant d’air très chaud.
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LYOPHILISATS
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Ce sont des extraits secs obtenus par cryodessiccation, c’est-à-dire par congélation puis sublimation du solvant. Ils sont très lyophiles (très avides de solvant) : ils permettront de redonner très vite une solution vraie (ex : injectables, sirops pédiatriques reconstitués extemporanément).
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PHYTOLS
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Ce sont des extraits fluides hydro-alcooliques, obtenus par extraction à froid des PA de la plante dans le solvant approprié, pour conserver l’intégrité des PA thermolabiles.
Etant constitués d’une phase aqueuse et d’une phase organique (alcool), les phytols contiennent à la fois des substances hydrosolubles (tanins, acides aminés, sels minéraux, oligoéléments...) et des substances organiques (huiles essentielles, PA aromatiques...).
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PHYTOSOLS
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Ce sont des digestés huileux (extraits fluides huileux) de plantes préalablement stérilisées, obtenus par longue digestion de la plante dans de l’huile de tournesol
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S.I.P.F.
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Les " Suspensions Intégrales de Plantes Fraîches " sont des suspensions de microparticules de plantes, obtenues par microbroyage de la plante fraîche entière, effectué à froid (azote liquide), dans de l’éthanol à 30° pour conserver l’intégralité et l’intégrité des PA.
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POUDRES CRYOBROYEES
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Ce sont des poudres de plantes, obtenues par microbroyage des plantes à froid (azote liquide), en l’absence de solvant.
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TEINTURES MERES
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A la base de l’Homéopathie, elles sont aussi utilisées en Phytothérapie. Elles sont obtenues par macération de plantes,le plus souvent fraîches, dans de l’éthanol à 65°.
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TEINTURES
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Ce sont des solutions obtenues par extraction des PA contenus
dans une poudre de plante sèche, grâce à de l’éthanol à des titres différents (en fonction de la solubilité des PA à extraire, dans l’éthanol).
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ALCOOLATURES
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Ce sont des solutions, obtenues en traitant des plantes fraîchespar de l’éthanol à un titre élevé ( 85 à 90° ), souvent employé chaud.
Ce mode de préparation permet d’ extraire de la plante, pour les dissoudre dans le solvant, les PA organiques solubles dans l’alcool fort et contenus dans des parties ligneuses (racine, écorce...).
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ALCOOLATS
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Après extraction des PA contenus dans des plantes
fraîches ou sèches, grâce à une macération dans de l’éthanol
à des titres divers, ceux qui sont volatils sont séparés par entraînement avec les vapeurs d’alcool en procédant à une distillation.
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MACERATS GLYCERINES
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Ce sont des solutions obtenues par macération de tissus végétaux en pleine croissance ( Bourgeons, jeunes pousses, radicelles... )
dans de la glycérine diluée.
Ils sont ensuite filtrés puis dilués au 1/10 dans un mélange eau/éthanol/glycérine, pour obtenir la 1° dilution décimale hahnemannienne ou 1DH.
C’est la raison pour laquelle vous verrez prescrite la mention :
"MG1D »... pour Macérat Glycériné à la 1° dilution décimale.
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HUILES ESSENTIELLES
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Ce sont les produits volatils aromatiques que l’on retire de la plante par entraînement à la vapeur d’eau (on distille alors de l’eau, dont les vapeurs vont entraîner les HE de la plante) ou par expression
(on " presse " alors la plante pour en extraire les HE).
Remarque : Les HE peuvent provenir de différentes parties de plantes, comme :
des fleurs (camomille),
des parties de fleurs (pétales de roses),
des écorces de fruits (zestes de citron),
des graines (anis),
des feuilles fraîches (eucalyptus),
des baies (genévrier),
des boutons floraux (clou de girofle),
du bois (santal).
ATTENTION : Précautions d’emploi : Les HE, utilisées au long cours, sont irritantes pour le tube digestif … Pour éviter des effets indésirables tels que gastrite et gastralgie, on les trouve sous des formes gastrorésistantes (gélules à enrobage gastrorésistant ou HE microencapsulées).
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Remarque : Pour les formes dont les noms ou les modes de préparation semblent voisins, vous prendrez soin à bien dégager les différences fondamentales qui les distinguent, afin de ne pas les confondre !
Exemples de formes à ne pas confondre :
- S.I.P.F. contre poudres cryobroyées,
- Teintures mères contre teintures,
- Alcoolatures contre alcoolats,
- Nébulisats contre lyophilisats,
- Phytols contre phytosols...
GDG
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
3
Dimanche 6 mai 2007 7 06 /05 /Mai /2007 17:32
Pour répondre à une question posée en fin de semaine dernière : que signifient les lettres "sb" dans l'appellation "sb cinéole par exemple", voilà l'explication :
sb signifie "spécificité biochimique" appelée aussi chémotype, c'est-à-dire que cela mentionne le principe actif principal de cette huille essentielle ...
Dans "Huile essentielle de Cinnamomum camphora sb cinéole" vous savez que ce camphre (HE solide) contient du cinéole, responsable d'ailleurs de son odeur caractéristique ...
Dernier exemple : Dans "Huile essentielle de bois de rose sb linalol", vous savez que cette HE contient ce PA responsable aussi de son odeur caractéristique !
Vous voilà à présent affranchis !
Si vous avez d'autres questions n'hésitez pas : c'est comme cela que l'on progresse ensemble ! Et merci de votre curiosité !
GDG
Autre exemple : Dans "Huile essentielle de basilic sb méthyl chavicol", vous savez que cette HE contient ce PA responsable de son odeur caractéristique
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Samedi 5 mai 2007 6 05 /05 /Mai /2007 18:18
Vous vous posiez la question de la différence d'utilisation thérapeutique entre ces 2 arbustes !
La voilà !
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ARGOUSIER = faux nerprun
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ARBOUSIER = arbre aux fraises
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Le jus d'argousier extrait de ses baies, est riche en vit C, vit E, béta carotène et lycopène, aux propriétés antioxydantes.
Il contient aussi du fer
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On utilise ses racines, son écorce ou ses fruits (appelés "fraises chinoises") qui sont par ailleurs comestibles !
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Il est indiqué comme adjuvant naturel dans le traitement des asthénies, pour prévenir le vieillissement cutané
(par VO ou en crèmes),
pour soigner les brûlures ... etc !
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Utilisé comme diurétique, dans les cystites, pour favoriser la circulation sanguine, dans les diarrhées et les troubles rénaux et hépatiques ...
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GDG
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie -
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Lundi 9 avril 2007 1 09 /04 /Avr /2007 00:00
Afin de limiter le champ d’action de la phytothérapie, et en particulier d’éviter le "charlatanisme", le BO 86/20 bis dresse une liste de 21 indications, suffisamment bénignes pour pouvoir prétendre à être traitées exclusivement par la phytothérapie.
Parmi les pathologies exclues de ces indications, figurent celles pour lesquelles il est dangereux de ne pas avoir recours à un traitement démontré efficace, comme : Hypertension artérielle, diabète, sida, cancer...
Vous trouverez dans le tableau ci-dessous quelques exemples de pathologies citées dans le BO 86/20 bis :
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Indications principales
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Plantes utilisables
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Traditionnellement utilisé dans les manifestations douloureuses articulaires
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Cassis (feuille), Frêne,
Saule, Reine des prés
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Traditionnellement utilisé pour faciliter l’élimination de la bile et faciliter la digestion
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Artichaut, Boldo, Chicorée, Fumeterre, Menthes, Pissenlit, Romarin, Tilleul
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Traditionnellement utilisé en vue de diminuer les sensations de jambes lourdes ou les désagréments des hémorroïdes
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Aigremoine, Airelle, Alchemille, Bourse à pasteur, Cassis, Hamamélis, Marron d’inde, Lamier blanc, Mélilot, Ratanhia, Ronce, Salicaire, Viburnum, Vigne rouge
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Traditionnellement utilisé dans le traitement symptomatique des troubles digestifs, en particulier en cas de flatulences
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Aneth, Angélique, Anis vert, Aspérule, Badiane, Basilic, Cannelles, Coriandre, Estragon, Fenouil doux, Giroflier, Marjolaine, Mélisse, Menthes, Millefeuille, Origan, romarin, Sariette, Sauge, Serpolet, Thym, Verveine
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Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Dimanche 8 avril 2007 7 08 /04 /Avr /2007 00:42
Deux aspects à cette notion de toxicité :
1. Certaines plantes, en particulier par la présence d’alcaloïdes très toxiques, ne seront pas utilisées en Phytothérapie, car leurs PA nécessitent des posologies très faibles, très précises et que la marge entre leur effet thérapeutique et leur effet toxique est très étroite.
Tous ces PA d’origine végétale sont connus, isolés (ou copiés par synthèse chimique) et utilisés en Allopathie.
Parmi ces plantes toxiques, citons :
- Digitale
- Ergot de seigle
- Belladone
- Cigüe
- Aconit
- Pavot
- Colchique
- Laurier cerise ...
2. Néanmoins, même les "petites plantes" peuvent être toxiques dans certains cas ou pour certains usages ! Quelques exemples :
- Le Fucus et autres algues, riches en iode, sont contre-indiqués en cas de problèmes thyroïdiens ...
- Les plantes laxatives stimulantes ou irritantes provoquent, lors d'un usage au long cours, la maladie des laxatifs, tout comme les traitements allopathiques correspondants ! Par exemple : Bourdaine et séné ...
- Certaines autres nécessitent des précautions d'emploi comme :
Le Millepertuis, inducteur enzymatique (diminue l'effet de certains traitemnts assoociés comme AVK ou contraceptifs oraux)
Le Millepertuis, photosensibilisant : attention en périodes ensoleillées !
L'Echinacea, qui inverse son effet stimulant immunitaire et anti-infectieux, en cas d'utilisation au long cours sans fenêtre thérapeutique ! Schéma à conseiller par exemple : 15 j d'échinacea et 15 jours d'arrêt et recommencer !
La liste n'est pas limitative !
GDG
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Samedi 7 avril 2007 6 07 /04 /Avr /2007 00:33
De la Botanique à la Phytothérapie : 
1. La Botanique correspond à l’étude descriptive des végétaux donc à l'identification des plantes et parties de plantes …
2. La Pharmacognosie étudie les drogues d’origine naturelle (dont les drogues végétales) et décrit leur composition chimique pour leur attribuer des activités pharmacologiques.
3. La Phytothérapie est une méthode thérapeutique utilisant des plantes ou parties de plantes, fraîches ou sèches, ainsi que leurs extraits divers.
----> L' Aromathérapie : Elle fait partie de la Phytothérapie, mais utilise uniquement les huiles essentielles extraites des plantes.
----> La Gemmothérapie : C’est la partie de la phytothérapie qui utilise exclusivement des macérats glycérinés de tissus végétaux en pleine croissance (bourgeons, jeunes pousses, radicelles …).
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Jeudi 29 mars 2007 4 29 /03 /Mars /2007 19:25
Les plantes devront être conservées :
- Dans un local aéré, obscur, à une température comprise entre 15 et 18°C.
- Le local devra être désinfecté avant l’installation du stock, et le maintien de la propreté sera assuré régulièrement dans les moindres recoins.
- Les plantes seront renouvelées régulièrement, en fonction de leur durée limite de conservation, qui est :
- De 2 ans maximum pour les fleurs, feuilles et autres parties fragiles.
- De 4 ans pour les autres parties de plantes.
- Variable pour les HE ( mais maximum 2 ans ).
- Les plantes seront conservées dans du papier Kraft bien fermé, ou dans des flacons en verre recouverts de papier aluminium, pour l’opacité à la lumière.
- Au moment du prélèvement des plantes pour la confection de formules composées ou la délivrance en vrac, il conviendra de dépoussiérer les plantes au tamis.
- Toute plante sera jetée et renouvelée si l’on constate une quantité importante de poudre au fond de son emballage, signe d’une mauvaise conservation avec altération de la plante.
Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Mercredi 28 mars 2007 3 28 /03 /Mars /2007 19:28
Quelques Altérations possibles des plantes, leurs Remèdes et Prévention :
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Altérations possibles
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Remèdes et Prévention
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Pollution
(insectes, poussières...)
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- Vérification macroscopique et tri manuel
- Flacons bien bouchés
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Hydrolyse
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- Conservation en flacons bien bouchés,
loin de toute source d’eau
- Exécuter les préparations loin de toute source d’eau
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Oxydation
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- Conservation en flacons bien bouchés
- Refermer le flacon de suite après prélèvement
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Altération par la Lumière
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- Conservation en sacs papier opaque (Kraft)
ou en flacons de verre teinté, ou entourés
de papier aluminium pour arrêter les rayonnements
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Altération par la chaleur
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- Eviter les expositions au soleil ou près d’une source de chaleur (radiateurs) :
Maintenir à une température constante voisine de 18°C
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Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Vendredi 23 mars 2007 5 23 /03 /Mars /2007 19:23
Pour le traitement des spasmes d’origine nerveuse ainsi que, si elles sont débutantes, celui des insomnies, de l’anxiété, et une tendance à la déprime, nous pourrons conseiller 3 catégories de plantes, en justifiant notre choix par leur impact pharmacologique :
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Action pharmacologique souhaitée
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Exemples de plantes
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Antispasmodique
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AUBEPINE
BASILIC
LAVANDE
ROMARIN
MELISSE
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Sédatif léger
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AULNE
LOTIER
MILLEPERTUIS
(Attention : Inducteur enzymatique)
SAULE
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Hypnotique à dose élevée
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COQUELICOT
PASSIFLORE
HOUBLON
VALERIANE
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Anxiolytique
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ESCHSCHOLTZIA
MELISSE
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Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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Jeudi 22 mars 2007 4 22 /03 /Mars /2007 19:21
Pour le traitement symptomatique des bronchites aigües, des toux irritatives ou productives non infectées, des enrouements, des aphonies, nous pourrons conseiller 3 catégories de plantes, en justifiant notre choix par leur impact pharmacologique :
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Action pharmacologique souhaitée
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Exemples de plantes
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Antitussif
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DROSERA
GRINDELIA
LIERRE
BOUILLON BLANC
BOURRACHE
TUSSILAGE
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Antiseptique respiratoire
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CYPRES
PIN
EUCALYPTUS
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Expectorant
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POLYGALA
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Contre l’enrouement
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ERYSIMUM
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Par G. D-G - Publié dans : Phytothérapie
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